Avec la diffusion de deux épisodes de The Clone Wars pour fêter la nouvelle année, le Général Grievous émerge des ombres pour créer des problèmes à nos héros Jedi, les attirant dans un piège qui menace leur mission et leurs vies. c'est un jeu mortel et le cyborg Séparatiste n'a pas l'intention de jouer selon les règles.
Découvrant la prochaine étape du Général Grievous, Obi-Wan et Anakin utilise cette information pour préparer un piège pour leur ennemi. Mais leur plan se retourne contre eux lorsque Grievous lance son propre piège. Avec leur mission en train d'échouer, Obi-Wan doit combattre Grievous tandis que Anakin prépare leur échappatoire.
Pour Matthew Wood, la voix du Général Grievous non seulement dans la série mais également dans l'Episode III, ainsi que responsable sonore sur The Clone Wars, l'épisode lui a offert le retour du grand méchant dans la série, permettant à l'antagoniste cybernétique de gagner un certain avantage sur ses adversaires Jedi.
Pour moi, la haine de Grievous envers les Jedi vient d'une jalousie intense. Ils ont des dons que Grievous ne peut pas avoir, explique Wood. Même si ses prouesses au sabre laser lui ont été apprises par le Comte Dooku, il manque à Grievous la perception de la Force pour comprendre la vraie nature des Jedi. Tant de choses se trouvent hors de sa portée, ce qui augmente sa jalousie et sa frustration.
Pour rendre les choses encore pires pour les ambitions sans cesse douchées du Général, Grievous étant entouré d'une armée inefficace de droïdes de combat... qui sont tous également doublé par Wood. Cette dichotomie permet à Wood d'insuffler un peu plus d'humour dans son jeu.
Grievous est en charge d'une importante armée, malgré cela les droïdes manquent de capacités pour submerger les Jedi. L'absurdité de la juxtaposition de ces personnages améliore ma capacité à les incarner, surtout parce que j'enregistre Grievous et les droïdes à la suite, dit-il. Les droïdes sont tellement limités par leur processeur de bas coût et produit en masse qu'ils ne verront jamais l'intégralité de la guerre. Leur nombrilisme comique causera leur perte. Tandis que le Général veut être un chef et une personne qui changera le cours de la guerre, tout ce qu'il arrive à faire jusqu'à présent, c'est retarder nos héros. De mon côté, j'aime les moments quand Grievous détruit des droïdes de combat, la manifestation ultime de sa frustration. Je joue Grievous et les droïdes comme un sketch de Abbot et Costello.
Derrière l'envers du décor, Wood est excité à l'idée de rester au centre de l'univers Star Wars, lui permettant d'exploser et d'exposer les motivations de son personnage tout en s'émerveillant à l'opportunité de travailler dans un monde qui a une part si importante dans son développement professionnel et créatif.
J'avais cinq ans quand Un Nouvel Espoir est sorti. Star Wars a stimulé mon imagination à la fois sur le côté technique et de la façon de raconter des histoires. La première fois que j'ai compris le rôle qu'avait un réalisateur dans la création d'un film fut quand j'ai vu l'image de George Lucas assis avec Alec Guinness sur le plateau de tournage en Tunisie. Je me souviens d'avoir penser : "Je sais qui est Obi-Wan mais qui est ce gars assis à côté de lui ?" Et maintenant je travaille avec lui. Bien que ça fait vingt ans que je suis dans la compagnie, j'ai toujours l'impression de me trouver dans un rêve de pouvoir travailler à la création de ce magnifique univers.
Et bien évidemment photos de Eet Koth et Grievous :




Découvrant la prochaine étape du Général Grievous, Obi-Wan et Anakin utilise cette information pour préparer un piège pour leur ennemi. Mais leur plan se retourne contre eux lorsque Grievous lance son propre piège. Avec leur mission en train d'échouer, Obi-Wan doit combattre Grievous tandis que Anakin prépare leur échappatoire.
Pour Matthew Wood, la voix du Général Grievous non seulement dans la série mais également dans l'Episode III, ainsi que responsable sonore sur The Clone Wars, l'épisode lui a offert le retour du grand méchant dans la série, permettant à l'antagoniste cybernétique de gagner un certain avantage sur ses adversaires Jedi.
Pour moi, la haine de Grievous envers les Jedi vient d'une jalousie intense. Ils ont des dons que Grievous ne peut pas avoir, explique Wood. Même si ses prouesses au sabre laser lui ont été apprises par le Comte Dooku, il manque à Grievous la perception de la Force pour comprendre la vraie nature des Jedi. Tant de choses se trouvent hors de sa portée, ce qui augmente sa jalousie et sa frustration.
Pour rendre les choses encore pires pour les ambitions sans cesse douchées du Général, Grievous étant entouré d'une armée inefficace de droïdes de combat... qui sont tous également doublé par Wood. Cette dichotomie permet à Wood d'insuffler un peu plus d'humour dans son jeu.
Grievous est en charge d'une importante armée, malgré cela les droïdes manquent de capacités pour submerger les Jedi. L'absurdité de la juxtaposition de ces personnages améliore ma capacité à les incarner, surtout parce que j'enregistre Grievous et les droïdes à la suite, dit-il. Les droïdes sont tellement limités par leur processeur de bas coût et produit en masse qu'ils ne verront jamais l'intégralité de la guerre. Leur nombrilisme comique causera leur perte. Tandis que le Général veut être un chef et une personne qui changera le cours de la guerre, tout ce qu'il arrive à faire jusqu'à présent, c'est retarder nos héros. De mon côté, j'aime les moments quand Grievous détruit des droïdes de combat, la manifestation ultime de sa frustration. Je joue Grievous et les droïdes comme un sketch de Abbot et Costello.
Derrière l'envers du décor, Wood est excité à l'idée de rester au centre de l'univers Star Wars, lui permettant d'exploser et d'exposer les motivations de son personnage tout en s'émerveillant à l'opportunité de travailler dans un monde qui a une part si importante dans son développement professionnel et créatif.
J'avais cinq ans quand Un Nouvel Espoir est sorti. Star Wars a stimulé mon imagination à la fois sur le côté technique et de la façon de raconter des histoires. La première fois que j'ai compris le rôle qu'avait un réalisateur dans la création d'un film fut quand j'ai vu l'image de George Lucas assis avec Alec Guinness sur le plateau de tournage en Tunisie. Je me souviens d'avoir penser : "Je sais qui est Obi-Wan mais qui est ce gars assis à côté de lui ?" Et maintenant je travaille avec lui. Bien que ça fait vingt ans que je suis dans la compagnie, j'ai toujours l'impression de me trouver dans un rêve de pouvoir travailler à la création de ce magnifique univers.
Et bien évidemment photos de Eet Koth et Grievous :



