et dsl pour ton club
KOP MIB Saison 2008-2009
Modérateur : Staff MIB
- darkplegius
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bravo a toi spectral
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- darkplegius
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bon ce soir match pourri
tout le monde vient nous taper chez nous c'est beau le foot francais
joueurs archi cuits
merci pour le spectacle c'est trop beau raymondo
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- Roba Fett 76
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Aucun interêt ce match, je n'ai même pas regardé !!!
Le prix des places (entre 15 et 60 €) était tout bonnement scandaleux pour un match amical, d'où le peu de places vendues, le public de Saint-Etienne méritait mieux...à commencer par plus de considération !!!
Le prix des places (entre 15 et 60 €) était tout bonnement scandaleux pour un match amical, d'où le peu de places vendues, le public de Saint-Etienne méritait mieux...à commencer par plus de considération !!!
Bah...ça vous étonne Roba Fett 76 qui mange un sveltess ???
- cyberluke
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A siffler les bleus comme ils l'ont fait ?
Ils ont pas compris que les verts hier soir c'était les adversaires ?
Honte sur le public !
Ils ont pas compris que les verts hier soir c'était les adversaires ?
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- Roba Fett 76
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J'ai vu le résumé du match et franchement, je les comprends...aucune envie d'encourager une bande de baltringues surpayés et qui n'avaient aucune envie de jouer hier de toute manière, il semble n'y avoir eu qu'une seule équipe sur le terrain et elle jouait en vert !!!
Match amical ou pas, pour les Super Eagles, ça signifie encore quelque chose de porter le maillot national...pour les français, ça ne veut rien dire...ces Messieurs ne veulent jouer que les Coupes du Monde et les Euros...et encore...pas le dernier !!!
Match amical ou pas, pour les Super Eagles, ça signifie encore quelque chose de porter le maillot national...pour les français, ça ne veut rien dire...ces Messieurs ne veulent jouer que les Coupes du Monde et les Euros...et encore...pas le dernier !!!
Bah...ça vous étonne Roba Fett 76 qui mange un sveltess ???
- darkplegius
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nous sommes a un an de la coupe du monde et vous voyez le jeu devellope
avec des bonhommes comme ribery et courcuff
la question est
est ce vraiment la peine d'y aller pour se faire humilier comme hier
moi qui suit tous ces evenements coupe du monde , coupe d'europe apres je suis completement hyper decu par leurs rendements ( match nul , match perdu )
avec des bonhommes comme ribery et courcuff
la question est
moi qui suit tous ces evenements coupe du monde , coupe d'europe apres je suis completement hyper decu par leurs rendements ( match nul , match perdu )
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- darkplegius
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y'a des fois il faut vraiment s'abstenir 
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- TK-842
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Particulièrement sur ceux qui ont beuglé pendant la minute de silence dédiée aux victimes du Vol Air Francecyberluke a écrit :A siffler les bleus comme ils l'ont fait ?
Ils ont pas compris que les verts hier soir c'était les adversaires ?
Honte sur le public !
Pour ce qui est du jeu, difficile de mettre le doigt sur ce qui cloche. L'organisation générale et le manque d'automatismes d'une équipe en perpetuel changement (charnière centrale + aile droite hier soir) sont pour moi une des raisons principales.
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Loose ou Carded Hasbro TVC: VC148 Imperial Tank Commander
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- Roba Fett 76
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Auxquelles ils faut ajouter le manque d'investissement personnel et de gnac des joueurs lorsqu'ils jouent en "bleu", l'absence de charisme et de crédibilité du coach, ses choix parfois douteux, notamment en terme de sélection, le manque d'adhésion des joueurs à son discours, le manque de cohésion de l'ensemble...bref, on ne peut pas jeter la pierre au public de ne pas se reconnaître dans cette bande de bras cassés...
Après, les minutes de silence et les Marseillaises non respectées, c'est autre chose, les abrutis, il y en a plein les tribunes !!! Pour les sifflets lors des Marseillaises, la solution est pourtant évidente, encore faut-il avoir le courage de vouloir résoudre le problème !!! L'état, la FFF et la Ligue n'en ont pas...
Après, les minutes de silence et les Marseillaises non respectées, c'est autre chose, les abrutis, il y en a plein les tribunes !!! Pour les sifflets lors des Marseillaises, la solution est pourtant évidente, encore faut-il avoir le courage de vouloir résoudre le problème !!! L'état, la FFF et la Ligue n'en ont pas...
Bah...ça vous étonne Roba Fett 76 qui mange un sveltess ???
- Roba Fett 76
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Pour mémoire, c'est ce type que Bazin s'est mis en tête de recruter cet été...
Vieira court après lui-même :
Manquant de souffle, de jambes et de beaucoup d'autres choses, Patrick Vieira a été l'ombre de lui-même mardi contre le Nigeria (0-1). L'écart entre ce qu'il produit en équipe de France depuis deux ans et ce qu'il lui a apporté naguère est énorme. Pourra-t-il un jour être réduit ?
C'est peut-être une croyance qu'il va falloir se résoudre à enterrer, comme on finit par admettre que le père Noël n'existe pas. Depuis des mois, bientôt des années, à chaque fois que l'équipe de France donne l'impression de patauger dans son jeu, l'ombre envahissante de Patrick Vieira plane sur tous les ressentis : «Il manque ce joueur capable de faire le relais entre le milieu et l'attaque, de se projeter vers l'avant». C'était l'esprit. Toulalan et L. Diarra connaissent ce refrain par coeur. Le problème, c'est que quand Vieira est là, le chaînon manque toujours. Voire plus que jamais. Mardi, à Saint-Etienne, le milieu de l'Inter Milan a passé 90 minutes au carrefour du jeu des Bleus, associé à Alou Diarra puis à Jérémy Toulalan. Mais comme contre l'Espagne à Malaga (0-1), comme face à l'Uruguay l'année dernière (0-0), lors de ses deux précédentes sorties, l'impact du capitaine fut si faible qu'une impression désagréable a parfois émergé : l'autre récupérateur avait une double part de travail à faire dans le pressing.
Incapable de courses d'une grande intensité, errant entre une somme de tâches qu'il n'était pas capable de réaliser simultanément (harcèlement, replacement, relance et leadership), Vieira n'a livré que de minuscules bribes du savoir-faire qui a pu le rendre si précieux dans le passé. Pire, pour le magnifique guerrier qu'il fut : il a parfois donné l'impression de fuir le duel. Sa récupération haute de la 40e seconde à l'origine de la première incursion bleue était une promesse sans lendemain. Son intervention autoritaire devant Ikechukwu Uche (52e) à l'angle de la surface, l'exception qui confirme la règle. S'il n'est pas à fond physiquement, Vieira ne peut pas être Vieira. Il ne le fut à Saint-Etienne ni dans l'impact, ni dans la justesse technique, parfois grossièrement déficitaire. «J'ai fait un match moyen, bien sûr, mais j'ai fait le maximum de ce que je pouvais faire, a-t-il reconnu après le match. J'ai pu travailler des automatismes avec certains joueurs que je n'avais pas vus depuis longtemps. On a été mis en difficulté, mais ça peut être une bonne chose, d'être mis en difficulté.»
« Je savais bien que, du jour au lendemain, il n'allait pas retrouver ses talents, a aussi abondé Raymond Domenech. Je suis déjà content qu'il ait joué 90 minutes. Il a payé en première mi-temps la saison qu'il a faite (NDLR, polluée par les blessures). Physiquement, il n'y est pas, mais le contraire serait ahurissant.» Le capitaine, lui aussi, confie qu'il comptabilise les raisons d'espérer en minutes passées sur le terrain plus qu'en passes réussies vers l'avant. Jouer un match entier avec l'équipe de France, il ne l'avait pas fait depuis le déplacement en Italie de septembre 2007 (0-0). «Sur le plan personnel, je suis satisfait d'avoir fait tout le match sans problème majeur. Je me sens bien, et j'espère débuter vendredi contre la Turquie, on verra ce qui va se passer pendant deux jours.» Le plus probable est que Raymond Domenech lui offre cette seconde chance. La dernière avant la ligne droite des qualifications, celle qui décidera de tout ? «Je n'ai rien à prouver» disait Vieira lundi. Cette phrase n'engage que lui. - Cédric ROUQUETTE (à Saint-Etienne)
Vieira court après lui-même :
Manquant de souffle, de jambes et de beaucoup d'autres choses, Patrick Vieira a été l'ombre de lui-même mardi contre le Nigeria (0-1). L'écart entre ce qu'il produit en équipe de France depuis deux ans et ce qu'il lui a apporté naguère est énorme. Pourra-t-il un jour être réduit ?
C'est peut-être une croyance qu'il va falloir se résoudre à enterrer, comme on finit par admettre que le père Noël n'existe pas. Depuis des mois, bientôt des années, à chaque fois que l'équipe de France donne l'impression de patauger dans son jeu, l'ombre envahissante de Patrick Vieira plane sur tous les ressentis : «Il manque ce joueur capable de faire le relais entre le milieu et l'attaque, de se projeter vers l'avant». C'était l'esprit. Toulalan et L. Diarra connaissent ce refrain par coeur. Le problème, c'est que quand Vieira est là, le chaînon manque toujours. Voire plus que jamais. Mardi, à Saint-Etienne, le milieu de l'Inter Milan a passé 90 minutes au carrefour du jeu des Bleus, associé à Alou Diarra puis à Jérémy Toulalan. Mais comme contre l'Espagne à Malaga (0-1), comme face à l'Uruguay l'année dernière (0-0), lors de ses deux précédentes sorties, l'impact du capitaine fut si faible qu'une impression désagréable a parfois émergé : l'autre récupérateur avait une double part de travail à faire dans le pressing.
Incapable de courses d'une grande intensité, errant entre une somme de tâches qu'il n'était pas capable de réaliser simultanément (harcèlement, replacement, relance et leadership), Vieira n'a livré que de minuscules bribes du savoir-faire qui a pu le rendre si précieux dans le passé. Pire, pour le magnifique guerrier qu'il fut : il a parfois donné l'impression de fuir le duel. Sa récupération haute de la 40e seconde à l'origine de la première incursion bleue était une promesse sans lendemain. Son intervention autoritaire devant Ikechukwu Uche (52e) à l'angle de la surface, l'exception qui confirme la règle. S'il n'est pas à fond physiquement, Vieira ne peut pas être Vieira. Il ne le fut à Saint-Etienne ni dans l'impact, ni dans la justesse technique, parfois grossièrement déficitaire. «J'ai fait un match moyen, bien sûr, mais j'ai fait le maximum de ce que je pouvais faire, a-t-il reconnu après le match. J'ai pu travailler des automatismes avec certains joueurs que je n'avais pas vus depuis longtemps. On a été mis en difficulté, mais ça peut être une bonne chose, d'être mis en difficulté.»
« Je savais bien que, du jour au lendemain, il n'allait pas retrouver ses talents, a aussi abondé Raymond Domenech. Je suis déjà content qu'il ait joué 90 minutes. Il a payé en première mi-temps la saison qu'il a faite (NDLR, polluée par les blessures). Physiquement, il n'y est pas, mais le contraire serait ahurissant.» Le capitaine, lui aussi, confie qu'il comptabilise les raisons d'espérer en minutes passées sur le terrain plus qu'en passes réussies vers l'avant. Jouer un match entier avec l'équipe de France, il ne l'avait pas fait depuis le déplacement en Italie de septembre 2007 (0-0). «Sur le plan personnel, je suis satisfait d'avoir fait tout le match sans problème majeur. Je me sens bien, et j'espère débuter vendredi contre la Turquie, on verra ce qui va se passer pendant deux jours.» Le plus probable est que Raymond Domenech lui offre cette seconde chance. La dernière avant la ligne droite des qualifications, celle qui décidera de tout ? «Je n'ai rien à prouver» disait Vieira lundi. Cette phrase n'engage que lui. - Cédric ROUQUETTE (à Saint-Etienne)
Bah...ça vous étonne Roba Fett 76 qui mange un sveltess ???
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